Aliisa [EC]

Nom: Väyrynen
Prénom: Aliisa
Surnom: Lisa
Âge: 23
Groupe: Autochtone
Nationalité: Américaine
Langues parlées:Français, Anglais.




Son proverbe:
Telle est la vie, tomber sept fois et se relever huit

Manies:

Description psychologique
Aliisa, Aliisa, Lisa pour faire plus court est une jeune femme au cœur foudroyant de joie, elle est gaie, optimiste et a une très forte confiance en elle-même et en ses capacités. Elle se connaît mieux que quiconque, et est consciente de ses qualités comme de ses défauts, et agit surtout selon ses humeurs. Elle est souvent d’humeur rose, souriante et amusée, mais ce si ne veut en aucun cas dire qu’elle ne peut pas devenir tout à fait l’opposé de l’ange qu’elle est. Il y a des limites qu’il ne faut pas franchir, des bords qu’il ne faut pas atteindre, des gestes et des mots qu’il ne faut pas atteindre, mais surtout, des souvenirs qu’il ne faut pas remuer.
Ce si dit, ça ne veut pas dire qu’elle vie dans le passé, elle sait comment apprécier la vie, comment s’amuser et donner à ses instants la valeur qu’ils méritent, elle n’abandonne jamais, voyez que son proverbe est tout à fait contre l’abandon. Elle n’est pas une guerrière mais a l’esprit passionné digne et le caractère indiscutable d’une vraie combattante. Elle ne se laisse jamais faire, et préfère plus tôt mourir que de perdre sa dignité.
Coté passion, permettez moi de vous dire que toute passion ne cache pas une douce harmonie et une agréable journée, ça ne veut en aucun cas dire que tout ce que la personne à dire n’est que rose, celui qui sourie sait pleurer, et celui qui chante sait hurler, mais justement, chacun à sa façon, et la sienne est beaucoup trop développé que seulement personnes comprenne.
Lisa, comme chaque personne connaît ces moments d’épanouissement où tout va bien, mais elle connaît aussi ces sombres chutes où elle préférerait se renfermer dans sa chambre, où elle aimerait juste partir ailleurs devant l’océan infiniment grand et hurler de toutes ses forces l’injustice des instants, ou simplement l’incapacité de l’être humain devant le destin qui réuni, mais qui sait aussi déchirer.
C’est quelqu’un de bien, certes, elle est généreuse, compréhensif, aimable, serviable, toujours à écouter les autres, à les aider, à leur faire confiance. Mais une confiance ça se mérite, et elle n’est pas aussi naïve qu’elle en a l’air, elle préfère de loin sourire à une personne qu’a lui crier dessus, et aime grandement les personnes qui se respectent et respectent les autres, mais ce qu’elle aime le plus c’est les personnes qui ont des valeurs et qui s’y tiennent coûte que coûte.




Avatar:

Description physique



Les apparences sont souvent trompeuses. Et sourire ne veut jamais dire qu’on est heureux, parce que cette vie nous apprends à sourire dans tout un tas de situations… une jeune fille avec un sourire bête et chaleureux ne cache peut être pas un cœur aussi chaud et accueillant, l’une des plus grande capacité de l’être humain est celle de s’adapter à toutes les situations, qu’importe les quelles, pour survivre et triompher, parce qu’il est crée ainsi, il a un tas de capacités que lui-même ne connaît pas, un tas de dont, un tas d’états… il se surprend lui-même, se rendant compte qu’il arrive à sourire après la mort d’un être qui lui était cher… c’est très trahissant. On trahit nos croyances et nos expectations, soit en devenant meilleur ou en fendant, laissant le temps décider de ce qu’on sera… L’humain voyez vous a tellement de choix qu’il ne sait plus quoi choisir !! Il y’en a qui refusent de se fier à leurs incapacités, et il y’en a d’autres qui se laissent aller parce que la vie ne mérite pas… Mais la vie mérite, tant qu’elle finira, c’est qu’elle a une valeur… seule les choses qui ont une fin ont des valeurs… et seuls les gens qui connaissent la valeur de la vie comprenne que sa joie ne se limite pas à une loi.
Je souris bien souvent, essayant de soulager et de ramener la joie à ceux qui m’entourent, et tout ce qui me tourmente ne devrait tourmenter que moi… et moi seule, parce que je ne mérite pas de faire inquiéter quelqu’un d’autre, chacun ses douleurs et ses tourments, chacun son passé avec ses joies et douleurs… surtout ses douleurs… les douleurs nous créent, savez vous ? Les douleurs font de nous ce que nous sommes, toutes ces expériences que je disais maudites un jour ont fait de moi ce que je suis maintenant, et vu que j’aime ce que je suis, je ne regrette rien… ou bien si !! Je regrette tout, mais je ne peux rien changer en regrettant, je ne peux rien faire, donc, je me dis ne pas regretter… non je ne regrette pas, je ne regrette rien, parce que l’enfant que j’était ne pouvait rien faire, parce que je ne suis pas un Dieu pour changer le sort des vies, je ne suis que moi, Aliisa, au sourire honnête… honnête ? Oui, bien sur, quelle que soit la raison d’un sourire, il reste honnête, non ? Je me mens encore une fois, mais ce n’est pas grave, je ne regrette pas… si je regrette mais je n’avouerais pas… et je te sourirais, comme j’ai souris à tout le monde avant toi, je ne suis pas mauvaise… un autre mensonge? Peut être oui, peut être pas…
Ici on me demande d’écrire mon histoire, et pourtant, ça contredit mes croyances… déjà, premièrement, l’écrire la rendra limitée à des mots, rien que des mots qui s’envoleront, mon histoire chérie, mon passé qui m’a crée se dénuera de sa réalité, de sa vivacité… sauf si les mots étaient vivants, si les lecteurs se laissaient emporté par les événements… seuls les humains sont vivants, donc eux seuls peuvent donner la vie aux mots. Et deuxièmement, je ne compte pas mêler des gens à mes douleurs, ces parties de l’histoire m’appartiennent… pour les curieux qui voudront lire, lisez, mais désintéressez vous de moi et de mes souffrances, je vais bien je vous assure… et là, je ne ment pas, peut être, qui sait, en tout cas je sourie… croyez en mon sourire, croyez en mon pouvoir de me relever !! Je ne suis pas faible, et je suis après tout, Aliisa, fille de ma mère norvégienne et de mon père français… j’ai d’ailleurs hérité de la beauté de ma mère, de ses yeux verts gris palpitants de vie, de ses lèvres rouges, son nez interminablement parfait… c’est maman qui est vraiment belle, je ne suis qu’un simple copie de sa beauté, comparée à elle je ne reste qu’une double, oui, mais non, s’aurait été juste si je n’avais pas pris de mon père ce qui distinguait sa famille.
Ma mère était belle, mon père était talentueux… il n’avait rien à ma mère, il n’était pas beau, pas du tout, il avait juste des dont innombrables qu’il partageait avec moi, sa passion à la musique, son amour à l’art, aux sons, la perfection des seines qu’il jouait, mon père mon idole, je comprenait d’ailleurs pourquoi ma mère l’aimait, il n’y a pas que les apparences qui comptent !! Je le savais déjà de si jeune âge. J’étais l’union d’un petit couple heureux et amoureux… je devais être heureuse aussi, et je l’étais ! Mon enfance, ou le peu de souvenirs que j’ai de mon enfance n’est que fête, les photos d’ailleurs en témoignent : Mon premier anniversaire, mon deuxième, mon troisième… ma vie filait si vite, mais je ne le regrettais pas, je ne connaissais pas le regret, pas encore. Et puis, j’ai des photos où je suis sur seine avec mon père, où je chante ou danse, ça dépendait de ce que mon père demandait. Maman était toujours sur les premières lignes à nous applaudir… et puis les célébrations après la réussite du spectacle, on disait à mon père que j’étais jolie, pourtant il fallait dire que j’étais talentueuse, douée… l’un de ces mots qui me feraient ressembler à mon père, parce que je ressemblais à ma mère, beaucoup trop…
Et je grandis ainsi, affectionnée, chérie, innocente du monde qui s’éloignait beaucoup trop de la pureté… mais j’appartiens à ce monde, et tôt ou tard je devais, moi aussi être polluée par son impureté. Maman, ma chère maman tomba malade, on n’était pas riche, on était une simple famille qui présentait des spectacles simples et amusants, mais la maladie ne le comprenait pas, et je ne le comprenais pas non plus ! Pourquoi maman ne pouvait plus se relever, me tenir dans ses bras, elle était la seule à dire que j’étais douée… Mais maman n’allait pas quitter, c’est ce que je pensais. Les docteurs étaient incapables de comprendre sa maladie, son cas était désespéré, mais mon père ne perdait pas espoir, nous perdîmes notre vie calme. De ville en ville cherchant un docteur qui dira que ma mère survivra.






Disponibilité pour poster:
Comment avez-vous connu le forum:
Avez-vous lu le règlement?

Quand tu auras fini ta fiche préviens nous

Elle ne sera pas là pendant deux semaines, donc je laisse la fiche ouverte et je réserve l'avatar.

Sa marche patron!